Rien à voir avec l'islam?
Rien à voir avec l'islam?
La nature totalitaire de l'islam
Le droit et le devoir de critiquer certaines idéologies
Pour en finir avec l’islamisation
Rien à voir avec l'islam?
La nature totalitaire de l'islam

La nature totalitaire de l'islam

La charia entend contrôler
tous les aspects de la vie humaine

Le droit et le devoir de critiquer certaines idéologies
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Pour en finir avec l’islamisation

Musulman avec djellaba et femmes voiléesSi la tendance actuelle se maintient, dans à peine une génération, plusieurs pays occidentaux, dont la France, seront non seulement majoritairement musulmans, mais également régis en partie ou en totalité par la loi islamique.

La destinée d’un peuple tient dans sa démographie, mais elle tient tout autant dans sa volonté de durer, de sécuriser ses frontières et de maintenir vivantes sa langue, sa culture et ses traditions.

L’islamisation constitue le plus grand danger auquel les peuples européens doivent faire face, elle est bien plus menaçante que les changements démographiques; en effet il est toujours possible après une ou deux générations d’assimiler les étrangers, tandis que l’islamisation mène à des changements profonds et irréversibles, non seulement sur le plan démographique, mais davantage en ce qui a trait à l’identité et à la culture des peuples conquis.

Dans cette analyse Hélios d’Alexandrie se propose de dégager les éléments clés qui influencent le processus d’islamisation. L’islam aura-t-il fatalement le dernier mot ou peut-on envisager un éventuel réveil des peuples européens? Que devra-t-on faire pour assurer le retour des nations européennes?

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Rien à voir avec l’islam?

Nothing to do with Islam?Comme l’affirme le chercheur Peter Townsend, auteur de l’ouvrage « Nothing to do with Islam? », les politiciens et les médias qui affirment que la vraie nature de l’islam s’oppose à l’usage de la violence le font à partir d’une compréhension très limitée des fondements de la foi islamique, et ce, pour peu qu’ils se soient réellement penchés sur la question.

Ils peuvent peut-être croire sincèrement que l’islam est une religion de paix, mais ils auront beaucoup de difficulté à défendre leur position en se reportant à l’ensemble des fondamentaux de l’islam (coran, sira, hadiths).

En la matière, on ne peut se contenter d’affirmations gratuites ou d’affirmations à partir de textes triés sur le volet qui expriment ce que nous aimerions que l’islam soit dans un monde idéal.

C’est la vérité, et toute la vérité qu’il nous faut découvrir.

Car comment trouver un remède si nous n’avons pas saisi la nature véritable du mal et du problème?

La survie de notre civilisation pourrait fort bien en dépendre.

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L’Islam, vu par Mgr Pavy

Extraits du sermon prononcé par Monseigneur Louis Pavy, évêque d’Alger, en la cathédrale d’Alger pendant le Carême de 1853 (ru; cf. J.P.Migne, 1844-1892. 84, 1856, col. 1257-1287).

Le dieu Allah de l’Islam est-il le même que la Sainte Trinité des Chrétiens? Monseigneur Louis PAVY, évêque d’Alger, y répond :

Mgr Pavy, évêque d'AlgerPour commencer, « celui qui prétend être le prophète d’Allah, Mahomet, devrait avoir des lettres de créance », c’est-à-dire la prophétie, les miracles et l’intégrité de l’ensemble de sa vie…

« Rien de tout cela ne se trouve chez Mahomet, cet homme de pillage et de sang qui prêche sa doctrine à coup de cimeterres, en promenant la mort sur un tiers du globe alors connu! »

Prophète? « Il n’a même pas su deviner qu’un jour le poison lui serait servi par des mains soumises. »

Et les miracles? « Mahomet répète jusqu’à satiété que Moïse, Jésus-Christ et les autres prophètes ont fait des miracles, témoignage précieux pour notre foi, mais que lui n’est pas chargé d’en faire : il n’est chargé que de la prédication; voilà la confession de son impuissance et par conséquent de son imposture et de son erreur. »

Par ailleurs, dit Monseigneur, « j’ai lu le récit de ses 18 miracles, d’après les auteurs arabes. Ce sont des phénomènes sans raison d’être, des contes puérils ou tout au plus des tours de sorcellerie qui feraient rire de pitié nos fameux prestidigitateurs…
Tantôt ce sont des arbres qui se promènent, des pierres qui parlent et autres niaiseries que nous avons honte de rapporter ici. Voilà tout son bagage de thaumaturge! »
Et manque d’arguments et de miracles, Mahomet fait croire que « le miracle des miracles, c’est le Coran, prodige qui dépasserait en beauté toutes les formes humaines… »

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« Vague populiste » en Europe : mais que leur reproche-t-on au juste ?

Que reproche-t-on aux Salvini, Orban et Kurz d’Europe ou aux Trump-Bolsonaro des Amériques quand on les traite de populistes?

À l’instar des termes « extrême-droite » ou « fasciste », le vocable « populiste » est une arme de « guerre des représentations » : il s’agit de « taxer » l’opposant en le montrant comme inculte, grossier, démagogue et… nationaliste.

La dénonciation de la « vague populiste » européenne marque la désapprobation de la part de la bien-pensance politique pour tout ce qui n’est pas elle-même.

Pour cette classe politique : être conservateur c’est déjà être populiste, comme le fait d’être nationaliste, bref, ne pas marcher dans le sens d’un soi-disant progressisme effréné contre la volonté des nationaux et au service d’un projet qui n’a que faire des territoires, est déjà populiste, c’est-à-dire disqualifié du débat politique.

Ce que la bien-pensance reproche c’est le fait même d’oser aborder le sujet, alors que nombre de sondages révèlent la défiance croissante d’une majorité des populations d’Europe envers non pas seulement l’islamisme, que l’on tente de déconnecter de l’islam, mais la religion musulmane elle-même, puis l’immigration afro-islamique, très différente des précédentes, mais dont la doxa politiquement correcte interdit de souligner les spécificités et de réduire au profit d’une autre.

D’une manière générale, c’est bel et bien la question éminemment politique des frontières, de la pérennité de la nation, de la défense de l’identité judéo-chrétienne de l’Europe, de l’échec des programmes d’intégration nationale, face aux migrations de peuplement et aux dérogations communautaristes (quartiers livrés aux islamistes et aux caïds; « atténuants culturels », « accommodements raisonnables ») qui est posée et qui, il y a cinquante ans, étaient abordés sans complexe par les partis modérés de gouvernement (cf. Raymond Barre en France avec son programme de retour des immigrés).

Si le Brexit et l’élection de Trump ont montré une chose, c’est que cette prise en otage, ce chantage émotionnel où le citoyen est pris entre l’invective et le statu quo, ne marche plus.

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La montée des populismes, réaction populaire à l’Égalité universelle imposée

No societyDans plusieurs livres publiés, Christophe Ghilluy développe et révèle une thèse d’évolution de la société occidentale depuis deux générations.

La montée des populismes n’est qu’une des réactions populaires aux exagérations d’un mondialisme, doublé d’un universalisme égalitaire, qui ont effacé toute identité ou spécificité individuelles.

Pour retrouver le socle d’une société stable, c’est-à-dire la classe moyenne, il faudrait ralentir la mondialisation et rétablir les identités et différenciations judéo-chrétiennes perdues ou simplement oubliées.

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L’archevêque catholique chaldéen de Mossoul nous avertit

Mgr Nona Amel, archevêque catholique chaldéen de MossoulDans une déclaration au quotidien italien, Corriere Della Sera, l’archevêque de Mossoul, Mgr Amel Shimoun Nona, a adressé un avertissement solennel à l’Occident.

Une mise en garde qui date de 2014, mais qui est actuelle plus jamais.

Si nous continuons à nous mettre la tête dans le sable et à ne pas faire la lumière sur les causes réelles (idéologiques et théologiques) de la violence commise au nom d’Allah…

Si nous continuons à ignorer qu’islamisme et islam sont une seule et même chose, car ils puisent aux mêmes fondements que sont le coran et la sunna…

Si nous continuons à nier que les fondamentaux de l’islam(isme) sont éminemment problématiques, car ils regorgent de propos qui appellent à la violence cautionnée par Allah…

Si nous continuons à nous enfoncer dans le déni et les discours politiquement corrects…

… la prédiction de l’archevêque de Mossoul se réalisera certainement.

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Occident et islam, crise et mort spirituelle

Sécularisation de l'EuropeLe séisme qui secoue le monde musulman n’est que la contrepartie de la crise profonde et de la misère spirituelle qui minent l’Occident post-chrétien.

La modernité n’a pas exorcisé les démons de l’islam, elle s’est même laissée intimider par eux.

Née du judéo-christianisme, elle s’est coupée de ses origines comme une branche qui se coupe de l’arbre pour mieux affirmer son originalité.

Ce faisant elle n’a trompé qu’elle-même et ses adorateurs, mais certainement pas l’islam qui l’a rejette à cause de ses racines chrétiennes et de la menace qu’elle exerce sur lui.

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L’Europe et l’Islam vus par le père jésuite Henri Boulad

Islamisation de l'EuropeEn mars dernier (2017), le père jésuite Henri Boulad rencontrait le premier ministre hongrois Viktor Orban à Budapest et recevait de ses mains la nationalité hongroise : « Ce petit pays qu’est la Hongrie peut faire basculer l’Europe, et j’ai l’intention de m’y investir ! »

Dans un entretien, le père Boulad explique ses motivations et le pourquoi de son souhait d’acquérir la nationalité hongroise. Il donne sa vision de l’Europe et de l’Islam, puis adresse un message aux chrétiens d’Europe et aux Français.

Le père Boulad invite notamment les Français à un sursaut, à un rejet de la manipulation dont ils sont l’objet. Qu’ils n’attendent pas que leur pays sombre dans le chaos pour se réveiller. Il serait alors trop tard.

Sont-ils conscients que des siècles d’histoire et de civilisation sont menacés de disparition? Sentent-ils que la France, qui fut à l’avant-garde de la pensée, de l’art et de la culture, risque bientôt de s’effondrer comme un château de cartes?

Enracinée dans le judéo-christianisme, l’Europe possède un trésor de culture et d’humanisme qu’il faut à tout prix sauver. Ce continent a été à la pointe de la civilisation, non seulement sur les plans technique et scientifique, mais aussi au niveau humain, moral et spirituel.

La crise que traverse la France (dont l’Europe occidentale et une bonne part de l’Occident) tient à l’idéologie de la gauche libérale liée à une islamisation exponentielle. Ces deux facteurs conjugués – qu’on appelle « islamo-gauchisme » – détruisent lentement la France, dont l’identité est en train d’être dévoyée et défigurée par celle de l’Islam de plus en plus fanatisé.

Un entretien à lire et à relire.

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Père Henri Boulad : « J’accuse l’islam »

Égypte : Au lendemain des attentats sanglants contre les chrétiens coptes célébrant le Dimanche des Rameaux, le 9 avril 2017J’accuse l’Islam d’être la cause de cette barbarie et de tous les actes de violence commis au nom de la foi musulmane.

Je n’accuse pas les musulmans qui sont majoritairement pacifiques, bienveillants et amicaux, mais l’islam comme idéologie politique. J’ai parmi les musulmans – qui sont nos frères en humanité – beaucoup de remarquables amis fidèles et irréprochables, souhaitant eux-mêmes un islam humaniste et pacifié. De très nombreux musulmans – et ex musulmans – ne sont pas responsables de cette barbarie au nom de Dieu. Ce ne sont donc pas eux que j’accuse ici… mais l’islam comme tel.

Ce ne sont pas non plus les terroristes, ni le terrorisme que j’accuse. Ni uniquement les Frères Musulmans ou la nébuleuse de groupuscules qui gravite autour de cette confrérie djihadiste et violente. Pas plus que je n’accuse l’islamisme, ou l’islam politique et radical.

J’accuse tout simplement l’islam qui, par nature, est à la fois politique et radical.

Comme je l’avais déjà écrit il y a plus de vingt-cinq ans, l’islamisme c’est l’islam à découvert, dans toute sa logique et sa rigueur. Il est présent dans l’Islam comme le poussin dans l’œuf, comme le fruit dans la fleur, comme l’arbre dans la graine. Il est porteur d’un projet de société visant à établir un califat mondial fondé sur la charia, seule loi légitime, parce que divine. Il s’agit là d’un projet global et globalisant, total, totalisant, totalitaire.

L’Islam se veut à la fois religion, état et société, dîn wa dawla. C’est ainsi qu’il a été depuis ses plus lointaines origines.

Avec le passage de la Mecque à Médine (l’Hégire) l’Islam passe du statut de religion à celui d’État théocratique. C’est aussi le moment où Mahomet cesse d’être simple chef religieux pour devenir chef de guerre, chef d’État et leader politique. Religion et politique seront désormais indissolublement liés : «L’Islam est politique ou n’est rien » (Imam Rouhollah Khomeiny).

J’accuse de mensonge délibéré ceux qui prétendent que les atrocités commises par des musulmans « n’ont rien à voir avec l’islam ». Or, c’est bien au nom du Coran et de ses injonctions claires que ces crimes sont perpétrés. Le seul fait que l’appel à la prière et l’incitation au meurtre des infidèles soient précédés du même cri, Allah-ou akbar (Dieu est le plus grand) est hautement significatif.

(…)

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Un ouvrage pour comprendre ce qui se passe…

Quel dialogue possible avec l'islam du Coran ?Voici un article de relance à propos de l’excellent ouvrage intitulé « Quel dialogue possible avec l’islam du Coran? – Point de vue d’un catholique », 2e édition.

Ce texte est une reprise d’un article paru dans le site « Le Salon Beige ».

Un premier article, que nous vous conseillons grandement, avait été publié sur « Points de Repères » à l’occasion de la première édition de l’ouvrage.

Comme le dit le titre du présent texte : « Un ouvrage pour comprendre ce qui se passe… ». De fait, la terreur islamiste qui se répand sur la face de la planète, en Orient comment en Occident, demande à être expliquée.

Or, pour qui prend le temps de scruter les fondements doctrinaux de l’islam, et ce, sans compter ce qu’en disent nombre de commentateurs qui font autorité dans le monde musulman, il devient évident qu’on ne peut plus exonérer l’islam des horreurs commises en son nom.

C’est aujourd’hui « l’heure de vérité », et ce, pour le bien de tous.

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