Survie

Pour en finir avec l’islamisation

Musulman avec djellaba et femmes voiléesSi la tendance actuelle se maintient, dans à peine une génération, plusieurs pays occidentaux, dont la France, seront non seulement majoritairement musulmans, mais également régis en partie ou en totalité par la loi islamique.

La destinée d’un peuple tient dans sa démographie, mais elle tient tout autant dans sa volonté de durer, de sécuriser ses frontières et de maintenir vivantes sa langue, sa culture et ses traditions.

L’islamisation constitue le plus grand danger auquel les peuples européens doivent faire face, elle est bien plus menaçante que les changements démographiques; en effet il est toujours possible après une ou deux générations d’assimiler les étrangers, tandis que l’islamisation mène à des changements profonds et irréversibles, non seulement sur le plan démographique, mais davantage en ce qui a trait à l’identité et à la culture des peuples conquis.

Dans cette analyse Hélios d’Alexandrie se propose de dégager les éléments clés qui influencent le processus d’islamisation. L’islam aura-t-il fatalement le dernier mot ou peut-on envisager un éventuel réveil des peuples européens? Que devra-t-on faire pour assurer le retour des nations européennes?

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« Vague populiste » en Europe : mais que leur reproche-t-on au juste ?

Que reproche-t-on aux Salvini, Orban et Kurz d’Europe ou aux Trump-Bolsonaro des Amériques quand on les traite de populistes?

À l’instar des termes « extrême-droite » ou « fasciste », le vocable « populiste » est une arme de « guerre des représentations » : il s’agit de « taxer » l’opposant en le montrant comme inculte, grossier, démagogue et… nationaliste.

La dénonciation de la « vague populiste » européenne marque la désapprobation de la part de la bien-pensance politique pour tout ce qui n’est pas elle-même.

Pour cette classe politique : être conservateur c’est déjà être populiste, comme le fait d’être nationaliste, bref, ne pas marcher dans le sens d’un soi-disant progressisme effréné contre la volonté des nationaux et au service d’un projet qui n’a que faire des territoires, est déjà populiste, c’est-à-dire disqualifié du débat politique.

Ce que la bien-pensance reproche c’est le fait même d’oser aborder le sujet, alors que nombre de sondages révèlent la défiance croissante d’une majorité des populations d’Europe envers non pas seulement l’islamisme, que l’on tente de déconnecter de l’islam, mais la religion musulmane elle-même, puis l’immigration afro-islamique, très différente des précédentes, mais dont la doxa politiquement correcte interdit de souligner les spécificités et de réduire au profit d’une autre.

D’une manière générale, c’est bel et bien la question éminemment politique des frontières, de la pérennité de la nation, de la défense de l’identité judéo-chrétienne de l’Europe, de l’échec des programmes d’intégration nationale, face aux migrations de peuplement et aux dérogations communautaristes (quartiers livrés aux islamistes et aux caïds; « atténuants culturels », « accommodements raisonnables ») qui est posée et qui, il y a cinquante ans, étaient abordés sans complexe par les partis modérés de gouvernement (cf. Raymond Barre en France avec son programme de retour des immigrés).

Si le Brexit et l’élection de Trump ont montré une chose, c’est que cette prise en otage, ce chantage émotionnel où le citoyen est pris entre l’invective et le statu quo, ne marche plus.

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