La taqîya ou l’art de la duperie
Idéalement, le monde humain devrait être un monde de parole et de confiance, un monde où l’on puisse s’appuyer sur une parole donnée.
Malheureusement, l’histoire nous apprend que tout être humain ou toute idéologie n’est pas à la hauteur de cet idéal.
À titre d’exemple, Adolf Hitler parlait de paix alors qu’il se préparait à la guerre.
L’humanité a payé un fort prix pour avoir refusé de prendre au sérieux le « Mein Kampf » d’Adolf Hitler, ainsi que les nombreux gestes (avant même la Deuxième Guerre mondiale) qu’Hitler posa, qui indiquaient que l’idéologie nazie était beaucoup plus que des mots sans réelle portée.
Or étonnamment, les hadiths (paroles et actions attribuées à Mahomet) rapportent que le prophète désigné de l’islam savait également faire preuve de tromperie pour arriver à ses fins.
De ce « modèle » proposé par le coran est née la doctrine de la taqîya, où la tromperie est justifiée dans le but de faire avancer l’islam.
Dans cet article :
- L’usage plus que discutable de la parole chez Mahomet
- Alors que l’Occident valorise la transparence, la doctrine de la taqîya justifie la tromperie
- La taqîya selon des penseurs musulmans
- La taqîya selon des spécialistes non-musulmans de l’islam
- Un Occidental averti en vaut deux …
- Taqîya
- Tawriya
- Kitman
- Muruna
Les implications de ces tactiques de duperie sont énormes pour les sociétés occidentales.
Les musulmans qui pratiquent les diverses formes de tromperie (taqîya, tawriya, kitman ou muruna) sont difficiles à reconnaître, car ils ne montrent aucun signe indiquant qu’ils nous trompent. De fait, ils croient appliquer ce qu’Allah leur demande afin de contribuer à l’avancement de l’islam (et sa charia) en Occident.
Plus que jamais, la vigilance est de mise pour les Occidentaux…
Il en va de la survie de la civilisation occidentale et de ses valeurs fondamentales.